WE des 11-12 septembre à Namur et Jumet

Cette année, le thème des Journées du patrimoine mettait à l’honneur les femmes. Quelle belle occasion de parler des Sœurs de Notre-Dame et de leur mission!

Au centre Sr Suzanne De Meersman et à droite Sr Georgette Toisoul

A Jumet, les balades contées dans le parc de JumetBio ont rencontré un grand succès. Le conteur très sympathique et relax a introduit avec humour quelques légendes et quelques notions sur la nature, comme l’âge du hêtre ( + de 160 ans) en mesurant la circonférence. A côté de cela, Anne-Catherine Bioul de Espace & environnement de Charleroi a monté une exposition pour présenter les Sœurs de Notre-Dame et rappelé dans quel contexte elles sont arrivées en 1808 pour remplacer les Filles de la Providence qui avaient une petite école pour les enfants pauvres.

C’est d’ailleurs en 1808, à Jumet, que Mère Julie rencontre le dernier prieur du monastère d’Oignies dont le Frère Hugo a réalisé des reliquaires et phylactères de toute beauté au début du XIIIème siècle.

A Namur, les sœurs de Notre-Dame et la Société archéologique de Namur se sont associées pour faire découvrir l’histoire fabuleuse de ce Trésor d’Oignies. Sauvé de justesse au moment de la Révolution française, ce Trésor du Moyen Age a été confié aux sœurs par le dernier prieur d’Oignies. C’est en 1818 que Mère St-Joseph l’accueille à Namur. Considéré d’abord comme objet de culte, les sœurs se rendent vite compte de la valeur patrimoniale de ce Trésor, aujourd’hui considéré comme l’une des sept merveilles de Belgique. Plusieurs femmes en particulier se mobilisent. Après les bombardements du couvent, Mère Monica décide d’ouvrir le Trésor au public et plusieurs religieuses très compétentes se chargent de l’accueil des visiteurs venant du monde entier.
Pour ces femmes engagées dans l’éducation, c’était l’occasion d’enseigner le beau à travers l’art et de partager leur foi. Au travers de documents d’archives et de témoignages personnels, les visiteurs ont pu découvrir l’implication des sœurs dans la préservation de ce Trésor. Un spectacle d’ombres chinoises sur Julie Billiart a également ravi les familles.

Femmes & Patrimoine

NAMUR et JUMET

A Namur: Le destin d’un Trésor, des sœurs, une histoire

La Société archéologique de Namur, en partenariat avec les sœurs de Notre-Dame, vous invite à découvrir l’histoire tumultueuse du Trésor d’Hugo d’Oignies, de sa création jusqu’à son exposition au TreM.a. au travers d’une expérience immersive et de témoignages personnels laissés par les sœurs.  


A la Société archéologique (Rue de Fer 35, 5000 Namur), vous pourrez découvrir des facettes inédites de ce trésor considéré comme l’une des sept merveilles de Belgique, au travers de documents d’archives, de théâtres d’ombres et d’une expérience immersive.

  • De 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00 : Parcours immersif en accès libre
  • 11h45 et 16h15 : Théâtre d’ombre pour les 6-12 ans (et les adultes qui le souhaitent !) : un spectacle d’ombres chinoises sur l’histoire du Trésor
    (Inscriptions obligatoires : 081/840.200)

Ce circuit vous emmènera ensuite au Centre d’héritage des  sœurs de Notre-Dame (17 rue Julie Billiart, 5000 Namur), gardiennes du Trésor pendant 200 ans. Au détour d’une visite guidée et de témoignages personnels, elles vous feront découvrir quelques portraits de Sœurs qui se sont impliquées dans la préservation et la valorisation du Trésor d’Oignies lors de sa première exposition au public.

  • De 10h00 à 12h30 et de 13h30 à 17h00 : Accès libre
  • 10h00 et 14h30 : visite guidée sur le thème: « les SND, gardiennes du Trésor d’Oignies pendant 200 ans »
  • 11h00 et 15h30 : Spectacle d’ombres chinoises sur l’histoire de Julie Billiart et la congrégation
    (Inscriptions obligatoires: 0497/27 95 57 ) 

Découvrez notre programme en cliquant ici.

A Jumet: une ferme urbaine du futur dans le domaine des Sœurs de Notre-Dame

Ce domaine, joyau historique et écologique, s’apprête à un nouveau destin tourné vers l’agriculture urbaine raisonnée et solidaire, porté au travers du développement d’une association, dont une jeune femme assure la présidence. Une filiation à travers les femmes. Ce magnifique écrin de verdure sera le théâtre en plein air de multiples activités autour du « récit des sœurs, depuis leur arrivée à Jumet-Chef-Lieu en 1808, et la fondation d’un couvent et pensionnat. Aujourd’hui, l’école Notre-Dame atteste, avec ses façades monumentales et sa chapelle datant du début du 20ème siècle, du rôle important des sœurs de Notre-Dame, tant sur le plan éducatif que socio-économique.

2B, Rue Borfilet, 6040 Jumet

  • Samedi et dimanche de 11h à 17h30
  • Ateliers, balade contée dans le parc le samedi à 11h, 14h et 16h et exposition

Infos: 0473/63 08 95 ou jumet.bio@protonmail.com

400 ans de l’église Saint-Loup à Namur

Ce 31 juillet 2021, la fête de Saint Ignace de Loyola fut célébrée de façon très particulière en l’église Saint Loup de Namur. En effet, le 8 août 1621 fut posée la première pierre de cette église dédiée à Saint Ignace de Loyola au service du collège jésuite attenant.  Cet édifice remarquable de style baroque fut desservi par les jésuites jusqu’en 1773, date de leur suppression. C’est ainsi que bientôt elle devint paroissiale sous l’appellation de Saint Loup.  

Donc ce jour de fête et de commémoration les jésuites, leurs nombreux amis, collaborateurs ou sympathisants étaient rassemblés pour une belle Eucharistie festive (durant laquelle 3 pères jésuites étaient spécialement entourés car ils célébraient leurs 50 ans de jubilé sacerdotal).

L’émouvante homélie donnée par le supérieur de la communauté évoquait les 500 ans de la bataille de Pampelune durant laquelle Ignace fut gravement blessé pas seulement physiquement mais surtout touché par le Saint Esprit qui le guida dans sa décision radicale de suivre le Christ. Les lectures bibliques et les chants reflétaient ce choix d’Ignace et de ses nombreux compagnons de « vivre en serviteurs à la plus haute Gloire de Dieu ».

Oui ,serviteurs en tous lieux pour l’amour de cet homme qu’on appelle Jésus ,comme nous l’avons chanté est une réalité de ces consacrés qui œuvrent partout dans le monde et qui destinaient la collecte de ce jour pour les besoins les plus urgents

  • en RDC
  • au Liban et
  • plus près de nous en faveur des sinistrés des inondations comme pour les pauvres de la ville à travers l’ASBL « L’escholle dominicale pour les pauvres ».

C’est dans la cour de cette ASBL que nous étions conviés au verre de l’amitié et ce fut pour nous, Sœurs de Notre Dame, l’occasion de nous rappeler avec gratitude notre lien particulier avec les jésuites et les Sœurs de Sainte Marie de Namur en matière d’éducation des plus pauvres de l’époque post- révolutionnaire.

Relisons dans l’histoire de la vénérée Mère Saint Joseph (Téchy-Tomme). L’année 1820 s’ouvrit joyeuse et bénie pour la maison-mère.

« Les administrateurs du bureau de bienfaisance vinrent offrir aux sœurs de Notre-Dame la direction de l’école dominicale pour les filles et aux frères des Ecoles chrétiennes pour les garçons.  Celle-ci avait pris naissance en 1647 lorsque Madame de Ruplémont légua le tiers de son immense fortune aux pauvres, notamment pour l’instruction de la doctrine chrétienne dans « l’école dominicale »  par les Pères de la Compagnie de Jésus.

Portail et inscription de l' »école dominicale »

Si vous en avez l’occasion poussez la porte vous y rencontrerez beaucoup de services répondant aux besoins actuels qui ont été largement étendus par un prêtre ami des plus pauvres l’abbé Malherbe si connu à Namur : la petite buwée (lieu d’hygiène corporelle)  la distribution de repas , l’école des devoirs ,et même des appartements pour des SDF … Et si vous le pouvez présentez-vous comme bénévoles. 

Pour nous, Sœurs de Notre Dame rappelons-nous notre charisme et les pauvres des lieux le plus abandonnés sont aussi à notre porte.  Merci à toutes les sœurs qui en gardent le souci actif.

Sœur Christiane Houet, août 2021

Nouvelle équipe provinciale

Namur… en mai  2021 

Sœurs de Notre-Dame de Namur

Le désir de Sainte Julie d’aller dans le monde entier, est une réalité aujourd’hui.

La congrégation qu’elle a fondée est divisée en provinces. Actuellement 38 sœurs font partie de la province Belgique-Sud-France.

Ce long WE de Pentecôte, 26 d’entre nous se sont réunies à Namur afin d’élire le leadership de la province, c’est-à-dire 3 sœurs. Nous sommes heureuses de vous les faire connaître :

Pauline Matebo, Monique-Marie Petit, Dorothée Nseya. 

Nous rapprocher de Dieu et des autres telle est la mission de nos trois déléguées. Où que nous soyons et quelles que soient nos activités apostoliques, nous les assurons de notre soutien et de notre prière.

Que l’Esprit Saint les éclaire, les guide et les réconforte.

Sr Andrée Weynandt

13 mai fête de l’Ascension de Jésus

Plusieurs sœurs de Notre-Dame s’étaient jointes à la communauté de Namur  pour célébrer à la fois, l’Ascension de Jésus et l’anniversaire de la béatification de Julie Billiart, le 13 mai 19O6 .

Messe solennelle célébrée par le Père Adolphe Mubiala SJ.

Quelque notes de l’homélie :

L’Ascension de Jésus n’est pas un reportage . Elle est racontée par des témoins.

Ce récit annonce le don prochain de l’Esprit Saint et le retour de Jésus à la fin des temps.

« Vous serez mes témoins à Jérusalem et en Samarie …. Allez dans le monde entier, annoncez la Bonne Nouvelle à toute la création. »

Double dynamisme de ce message :

mouvement :  « allez dans le monde entier » : suppose arrachement à un lieu pour aller ailleurs,

communication : « annoncez, la Bonne Nouvelle … »

Signes qui accompagneront ce message :

*chasser les démons

*Parler en langues nouvelles

*guérir les malades

Julie Billiart a vécu ces deux mouvements :

quitter la France ,,, bravant les obstacles pour le bien de l’Eglise, de la famille chrétienne, des jeunes filles…

Célébrer Julie :

  1. raviver le désir d’aller à la périphérie à la rencontre de l’autre,
  2. vivre la fidélité créatrice, attentive aux signes des temps.

Nous allons concrétiser notre engagement en sortant d’ici en procession, ensuite en chantant, nous jetterons des semences en terre pour laisser l’Esprit Saint les faire germer.

Sœur Andrée Weynandt, Namur

4, 5 et 6 juin 2021: WE Eglises Ouvertes

Nous vous invitons à partager un moment de convivialité dans le cadre des Journées des Eglises Ouvertes et en partenariat avec la radio locale RCF qui partage notre lieu de vie !

Vendredi de 9h00 à 16h00, samedi de 13h à 17h et dimanche de 10h30 à 17h, c’est avec joie que nous ouvrons les portes de l’église Sainte-Julie pour vous accueillir et vous proposer quelques animations selon les règles sanitaires en vigueur.

  • Visites guidées du Centre d’héritage (vendredi à 10h00 et à 14h00, samedi à 16h00 et dimanche à 11h00 et à 13h00)
  • Spectacle d’ombres chinoises pour grands et petits! (samedi à 14h00 et dimanche à 14h00) – 15 personnes maximum à l’intérieur de l’église

Eglise Sainte-Julie au couvent des Sœurs de Notre-Dame de Namur: 17, rue Julie Billiart à Namur (près du théâtre de Namur)

Plus d’informations: heritagecentre@sndden.org (ou Sœur Christiane: 0497/27 95 57)

Passion pour la mission – Fonds du Jubilé

Mis en avant

Le Fonds du Jubilé des Sœurs de Notre-Dame de Namur constitue une initiative exemplaire visant à améliorer et soutenir la qualité de la vie et de la mission. Créé en 1999, le Fonds supplée aux dépenses encourues pour l’éducation, la formation et les frais de la vie courante des SNDdeN en Afrique et en Amérique Latine, le « Sud ».

Découvrez comment ce Fonds alimenté par la Congrégation et par des donateurs extérieurs s’est mis en place, quels en sont les objectifs et, à travers des exemples du Sud, quel est son impact remarquable.

Livre téléchargeable gratuitement en français, anglais, espagnol, portugais et japonais: cliquez ici

Les sœurs de Thuin

Voici un petit partage de notre vie en ce moment.

Ce virus nous a apporté un grand changement sur toute notre vie, spirituelle, morale, physique et apostolique. Nous avons adapté notre horaire selon ce temps de pandémie.
Au début nous avons paniqué en écoutant les médias à cause des nombreux décès, surtout dans les maisons des repos, et la fermeture de beaucoup d’activités comme notre maison de camps. Il a fallu trouver une autre façon de travailler. Nous devons rester confinées chez nous, la grille fermée, sans messe à la maison ni à la paroisse. Nous suivons la messe à la télévision ou sur internet pour celle du matin. Nous faisons des cours sur commande avec les personnes de bonne volonté.  

Pour la maison de camps « Les Pins Verts », nous recevons beaucoup de coups de téléphone pour annuler des séjours, pour les reporter à une autre période ou pour des remboursements qui se font tous les mois jusqu’à aujourd’hui. En juillet et août 2020, nous avons quand même pu recevoir les enfants. Malgré la peur, cela s’est bien passé. Il y a de nouvelles inscriptions pour plus tard, nous vivons au jour le jour, nous restons patientes et à l’écoute.
Pour notre vie spirituelle: la matinée est libre pour chacune. A partir de 17 heures,  nous suivons la messe sur internet, puis le chapelet de miséricorde et la prière à Saint Roch pour le monde, notre congrégation, nos familles et amis. Viennent ensuite les vêpres et l’adoration jusqu’à 20 heures.
En ce qui concerne notre apostolat en dehors: nos visites et communions continuent à distance. La responsable nous met au courant de la situation des personnes que nous suivons. Pour rester en communion avec elles à Noël, à Pâques et lors de la journée des malades, nous avons fait des cartes de vœux. Les visites de la Croix Rouge se font par vidéo sur WhatsApp pour continuer la vie et de se voir. Maintenant que nous pouvons célébrer la messe en paroisse avec un nombre limité de 15 personnes, nous essayons de nous inscrire de temps en temps quand la messe est à la ville basse où nous pouvons nous rendre à pieds. Malgré tout cela, les rencontres sont très importantes, il y a le téléphone mais la présence est essentielle. Les paroissiens nous cherchent mais il faut se protéger et protéger les autres; le temps viendra où la vie reprendra.

Les Sœurs de Thuin

Fleur De Cerisier Printemps Fleurs - Photo gratuite sur Pixabay

« Laudato si » et nous

Dans cette vidéo, écoutez Soeur Suzanne De Meersman pour connaître les prémices du projet Jumet.bio.

Découvrez comment les sœurs ont perçu et répondu à l’appel à la conversion écologique promue par le pape François dans ‘Laudato si’ sans trahir nullement le charisme de Julie Billiart!

Exposition Zusters in oorlog

Du 15 février au 27 juin se tient au Kadoc KU-Leuven une exposition sur les « Sœurs pendant la Guerre ». Toutes les informations se trouvent ici.

Un livre est également sorti aux éditions Pelckmans. Vous pouvez assister à sa présentation en ligne qui aura lieu ce jeudi 18 février à 20h00 en vous inscrivant sur ce lien.

Madame Kristien Suenens et Monsieur Roeland Hermans, chercheurs au Kadoc-KU Leuven, ont consulté les archives des sœurs à Namur. Ils se sont intéressés aux neuf sœurs de Notre-Dame belges qui ont perdu la vie lors de la deuxième guerre mondiale: deux en France à Courcelles, une à Bastogne et six à Namur.

En mai 1940, 33 sœurs partirent en EXODE en France. Le 20 mai 1940, un soldat français s’écriait: « Je viens d’arrêter deux parachutistes habillés en religieuses. Comme j’exigeais leurs pièces d’identité, l’un des deux voulut faire de la boxe. Rapidement identifiés, ils ont été fusillés sur le champ ». Quelle terrible méprise! Il s’agissait en réalité de Sœur Marie-André du Sacré-Cœur et Sœur Paula-Marie! Lisez le témoignage de Sœur Thérèse-Irma Labiouse: https://sndden.be/wp-content/uploads/2018/01/1940-1945.pdf

Plusieurs objets ayant appartenu ou racontant la vie de Sœur Marie-André sont exposés au KADOC-KU Leuven.

A BASTOGNE, lors de l’offensive des Ardennes en décembre 1944, des élèves, des centaines de civils et des militaires américains s’étaient réfugiés chez les sœurs, dans les caves de leur école. Le 20 décembre 1944, Sœur Emmanuel Didier priait à l’oratoire improvisé au sous-sol de l’école quand un obus tomba sur le trottoir devant le soupirail de la cave à charbon. Un éclat d’obus traversa le ciboire, ressortit à l’avant et frappa mortellement Sœur Emmanuel au cœur. Si vous souhaitez en savoir plus, lisez l’article sur les 75 ans de la Bataille des Ardennes: ici.

Quelques objets de Bastogne sont exposés au KADOC-KU Leuven :

  • Le ciboire de Bastogne et un cadre signé par des soldats américains:
Aucune description de photo disponible.
Le ciboire de Bastogne a quitté temporairement le Centre d’héritage pour être exposé au Kadoc.

En septembre 1944, des militaires américains ont demandé aux sœurs de Notre-Dame d’occuper l’école de Bastogne pour faire de la cartographie. En guise de remerciement pour leur hospitalité, les 63 militaires offrirent ce cadre aux religieuses. Encore accroché dans les caves de Hénallux de Bastogne il y a quelques jours, celui-ci sera désormais conservé dans les archives des Sœurs à Namur.

A NAMUR, la maison mère des Sœurs de Notre-Dame fut d’abord détruite par les Allemands lors du bombardement du 13 mai 1940 puis par l’aviation alliée qui visait en fait le pont du Luxembourg le 18 août 1944 ; 353 morts dont 6 Sœurs de Notre-Dame. Les sœurs avaient trouvé refuge chez les « Sœurs de sainte Julienne », rue Pépin à Namur. De nombreux témoignages, des photos, des films de cette période sont conservés aux archives des Sœurs de Notre-Dame et exposés au Centre d’héritage.

Bombardement de 1944 – Couvent des SNDdeNamur

Les archives gardent la mémoire de toutes les actions entreprises par les sœurs et c’est une joie quand celles-ci deviennent un « patrimoine vivant »!